Une grande rétrospective du maître de la peinture abstraite, Pierre Soulages, artiste français ,s'expatrie à Berlin. Présentée au Martin Gropius Bau, elle fait suite à l'exposition du Centre Georges Pompidou à Paris qui avait été un réel succès comme le témoigne le chiffre colossal de 500 000 visiteurs. La carrière de Soulages a toujours été étroitement liée à l'Allemagne, ce qui nous donne un nouveau regard sur cette exposition qui retrace avec 70 toiles une œuvre marquée par le noir.
Pierre Soulages… La seule évocation de ce nom fait naître à l’esprit des visions de tableaux noirs, dont les matières accumulées, travaillées à la brosse ou griffées subliment la lumière. Le travail de Soulages, aujourd’hui incontournable, récompensé dès 1957 à la Biennale de Tokyo et exposé à l’international, fait office de référence dans le mouvement abstrait. Dès 1946, le peintre s’impose par son art nouveau, par ses « signes sans significations » et ses œuvres aux appellations déclinées sur la base de trois informations primaires : techniques, dimensions, date.
Pierre Soulages… La seule évocation de ce nom fait naître à l’esprit des visions de tableaux noirs, dont les matières accumulées, travaillées à la brosse ou griffées subliment la lumière. Le travail de Soulages, aujourd’hui incontournable, récompensé dès 1957 à la Biennale de Tokyo et exposé à l’international, fait office de référence dans le mouvement abstrait. Dès 1946, le peintre s’impose par son art nouveau, par ses « signes sans significations » et ses œuvres aux appellations déclinées sur la base de trois informations primaires : techniques, dimensions, date.
Le Martin Gropius Bau propose aux amateurs d’art depuis début octobre et jusqu’aux premiers jours de janvier de (re)découvrir Pierre Soulages. L’exposition propose une découverte des sombres toiles du maître, dont la taille souvent massive leur confère une aura surprenante. Cette seconde rétrospective dans un pays qu’il affectionne particulièrement est presque un couronnement pour Pierres Soulages, le ‘maître du noir’.
www.museumsportal-berlin.de
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